
L’hiver approche à grands pas et les maux de saison se multiplient : bronchite, grippe et autres réjouissances en tous genres qui frappent particulièrement les tout-petits.
C’est juste le temps que leur système immunitaire se forge dit-on, après, ça devrait se réguler…
En attendant, c’est la galère !!!
Lorsque la maladie commence à pointer le bout de son nez, on espère secrètement que ça ne sera qu’un petit rhume de rien du tout, que ça passera et que le soir, il n’y aura plus aucun symptôme.
Alors on dépose notre enfant à l’école, en tremblant (quand même !) à l’idée que la maîtresse nous rappelle pour nous dire que notre chérubin est vraiment fébrile et que là, il faudrait vite venir le chercher.
Avouez-le, vous aussi avez redouté au moins une fois le moment où vous alliez voir le nom de l’école s’inscrire sur votre téléphone.
Le moment où il faudrait tout arrêter et où votre semaine serait toute chamboulée avec un enfant malade à la maison.
Vous voyez déjà la scène : visite chez le médecin après de longues heures passées en salle d’attente, nuits agitées, hachées, voire sans sommeil…
Vous commencez déjà à ressentir un certain épuisement alors même que la semaine n’a pas commencé !
Certes, nous aimons nos enfants plus que tout. Toutefois, nous ne sommes que de simples êtres humains et ces situations, outre le fait qu’elles soient difficiles à gérer, sont éprouvantes (fatigue mais aussi sentiment d’impuissance face à la maladie de notre petit bout de chou).
Une chose est sûre : une fois le pic de la maladie passé, les enfants ont cette faculté incroyable de se rétablir à une vitesse folle.
Vous devriez donc très rapidement retrouver un tout petit peu de temps pour vous et ainsi, recharger vos batteries et retrouver la risette.