Faîtes-vous de votre mieux ?

Connaissez-vous « Les Quatre Accords Toltèques » de Don Miguel Ruiz ?

Ce livre a pour sous-titre « la voie de la liberté personnelle », un rêve absolu pour beaucoup d’entre nous.

Dans ce livre, Don Miguel Ruiz nous « propose un puissant code de conduite capable de transformer rapidement notre vie en une expérience de liberté, de vrai bonheur et d’amour » (cf. quatrième de couverture).

Ce code de conduite s’articule autour de quatre accords toltèques :

  1. Que votre parole soit impeccable
  2. Quoiqu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle
  3. Ne faites pas de suppositions
  4. Faire toujours de votre mieux

Aujourd’hui, c’est sur ce dernier accord que je souhaitais particulièrement attirer votre attention.

Pour l’illustrer, Don Miguel Ruiz nous donne l’exemple suivant :

« La plupart des gens vont chaque jour au travail en ne pensant qu’au jour de paie et à l’argent que leur travail va leur rapporter. Ils attendent avec impatience le vendredi ou le samedi, selon le jour où ils sont payés et où ils peuvent prendre du temps pour eux. Ils ne travaillent que pour la récompense et, du coup, font de la résistance. Ils essayent d’éviter d’agir et, par conséquent, ne font pas de leur mieux.

Ils travaillent dur toute la semaine, peinant à leur tâche, subissant leur activité, non parce qu’ils le veulent, mais parce qu’ils pensent y être obligés. Ils doivent travailler pour payer leur loyer et subvenir aux besoins de leur famille. Ils vivent donc avec toute cette frustration et, lorsqu’ils reçoivent enfin leur argent, ils sont malheureux. Ils ont deux jours de repos pour faire ce qu’ils veulent, mais que font-ils ? Ils essaient de s’évader. Ils se saoulent parce qu’ils ne s’aiment pas. Ils n’aiment pas leur vie. On se fait du tort de multiples manières lorsqu’on n’aime pas qui l’on est.

Inversement, si vous agissez simplement pour le plaisir d’agir, sans attendre de récompense, vous découvrirez que vous apprécierez tout ce que vous ferez (…)

Si on aime ce qu’on fait, si on fait constamment de son mieux, alors on jouit pleinement de la vie (…)

Etre dans l’action, c’est vivre pleinement.

L’inaction est notre manière de nier la vie.

L’inaction, c’est rester assis devant la télévision chaque jour pendant des années, parce que vous avez peur d’être vivant et de prendre le risque d’exprimer qui vous êtes. C’est passer à l’action que d’exprimer qui vous êtes.

Vous pouvez avoir beaucoup de grandes idées dans votre tête, mais ce qui fait la différence c’est le passage à l’acte. Si vous ne passez pas à l’action pour concrétiser vos idées, il n’y aura aucune manifestation, aucun résultat, et aucune récompense ».

Alors prête à prendre votre bonheur en main ? 

Si oui, n’attendez plus !

Posez-vous tout de suite la question de savoir quelle petite action (même la plus petite soit-elle) vous pouvez dès aujourd’hui réaliser pour être la maman heureuse et épanouie que vous méritez d’être ?

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