
Voyez cet article comme un cri du coeur !
Inspiré de ma propre expérience, je ne sais que trop bien comme il est facile de s’oublier à l’arrivée de bébé.
Certes, nous sommes comblés de bonheur par la découverte de ce petit être mais nous n’en demeurons pas moins fatiguées et il est plus que nécessaire de recharger ses batteries.
Seulement voilà, nous voulons être des mamans parfaites et nous nous croyons (à tort…) invincibles, portées par nos nouvelles ailes de « wonder mum ».
Nous mettons de côté l’épuisement qui s’accumule peu à peu et qui risque pourtant de sérieusement nous affecter, nous mais aussi notre famille, dans les semaines à venir.
Dans ce cas, un mal être notable s’installera dont il sera par la suite difficile de se relever (sentiment d’étouffement, isolement… que de réjouissances que l’on préférerait éviter).
Ce phénomène est d’autant plus présent chez les parents en congé parental.
Bien que n’ayant que le nom de « congé » (oui, s’occuper d’un enfant peut être bien plus énergivore et difficile qu’une journée de travail !!!), l’on a tôt-fait de se dire « je suis en congé parental = je dois me consacrer à mon enfant = je m’occuperai de moi plus tard ».
Or, il s’agit là d’une terrible croyance qu’il faudra rapidement balayer.
Se préserver est essentiel.
Le bien-être maternel est primordial pour l’équilibre familial et la sérénité de chacun.
Dès lors, en congé parental ou non, prenez soin de vous ! Il ne s’agit pas d’une option mais d’une injonction (presque vitale !) pour votre santé mentale.
Accordez-vous, ne serait-ce que 5 minutes par jour, pour souffler et écouter vos propres besoins.
Vous en ressortirez plus forte et garderez ainsi toujours la risette 🙂